Rencontre avec une cougar lesbienne sur un forum

Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 2 ans

J’étais mal dans ma peau, je m’étais encore faite avoir en croyant à l’Amour. Mon énième mecs m’avait jetée comme un mouchoir. Un soir de grande tristesse, je me suis dit qu’à partir de maintenant, je n’aurai plus de mec et que j’allais devenir lesbienne.

C’est avec ce type de pensée que je me suis mise à surfer sur le net à la recherche d’un site de rencontres entre femmes. Un sujet sur le forum de Fessestivites qui parlait du plaisirs entre femmes m’a intriguée, il parlait des cougars lesbiennes. Je ne connaissais pas le sens du mot cougar, cela m’a donc éclairée. Soudain, dans ma messagerie, l’une d’elle m’a contactée. Pendant cette discussion, je me suis épanchée sur mes malheurs et même mes interrogations à propos de ma sexualité.

Loin de me juger, elle m’a écoutée et un peu tiré les vers du nez. « Non, je n’avais jamais rien fait avec une femme ».

Sans chercher à me convaincre, elle m’a expliquée que le plaisir entre femmes est différent. Il est plus doux, plus sensuel. C’était justement de douceur et de sensualité que j’avais besoin.

Après plus de deux heures de discussions, j’avais l’impression de la connaître depuis 10 ans et qu’elle était mon amie de longue date. Si bien que lorsqu’elle m’a proposée d’aller prendre un verre dans un bar le lendemain, j’ai accepté. Ma surprise fut de taille, elle avait deux fois mon âge mais son sourire et ses yeux d’un bleu profond m’ont faite fondre. Je lui ai indiqué que j’avais mal partout et surtout au dos.

  • Les angoisses et les soucis génèrent des douleurs musculaires et tirent sur les tendons, j’en sais quelque chose, je suis kinésithérapeute ! M’a indiquée Linda avant d’ajouter, si tu viens chez moi, je te fais un massage, tu verras cela te soulagera.

Comme nous étions entre femmes, j’ai accepté car il n’y avait pour moi, aucun risque. Après m’avoir offerte un verre de Mojito maison avec de la menthe fraîche et du citron vert, elle s’est assise au fond de son canapé et m’a demandée de m’asseoir entre ses jambes en lui tournant le dos pour me masser les épaules. Sans aucune crainte, je suis donc aller m’asseoir comme demandé. Ses mains étaient magiques. Elle m’a massée la nuque, les épaules, le crâne en me disant qu’elle pratiquait également le Moneyron, qui est une forme de thérapie manuelle holistique basée sur la stimulation de points réflexes.

J’étais décontractée, zen, ses massages me faisaient un bien fou. Quand elle se serrait contre moi pour masser le devant de mon crâne, je sentais sa poitrine généreuse contre mon dos, cela ne me gênait pas. Lorsqu’elle m’a demandée de retirer mon chemisier pour s’occuper de ma colonne vertébrale, je n’ai pas hésité, nous étions entre femmes, être vue en soutien-gorge ne me posait aucun problème. Comme mon soutien-gorge la gênait, elle m’a ensuite demandée de le retirer, encontre une fois, comme nous étions entre femmes et qu’elle était kiné, je n’y ai vu aucun mal.

Pendant son massage, à certains moments elle me manipulait au sens physique du terme. Elle soulevait mes bras, les étirait, les pliait pour me soulager par ses attouchement médicaux. Appuyée contre elle, j’avais l’impression d’être dans les bras de maman quand j’étais petite. Cette sensation de sécurité contribuait grandement à me détendre et me faire oublier mes soucis. A un moment, elle a posé ses lèvres dans le creux de mon épaule en me disant que je sentais bon. Lentement, elle les a faites glisser sur ma nuque, mon autre creux de l’épaule, cela me faisait de très agréables frissons.

Entre ses bras et sous ses lèvres je me laissais aller, je planais.

Les vagues de bisous sur mes épaules se sont poursuivies pendant que ses mains ont pris possession de mes seins. Quand elle a commencé par les masser par en dessous, je me suis carrément appuyée contre elle pour me laisser aller. Petit à petit, ses doigts magiques se sont attaqués à mes tétons avec une douceur et une sensualité que je ne connaissais pas. La tête en arrière au creux de son épaule, j’ai appuyé mon visage contre le sien en lui disant qu’elle avait des mains magiques. Elle a commencé à grignoter ma joue avec une extrême douceur et quand ses lèvres sont arrivées aux miennes, je ne me suis pas défilée. Ce n’était pas un palot, c’était des « poutoux » si doux, pareil à ceux d’une maman sur son bébé.

Linda n’est pas restée sur ma bouche, elle a mangé mon visage à coup de « poutoux » doux tout en continuant de jouer avec mes tétons. Lorsque sa main droite s’est posée sur ma cuisse pour me griffer doucement, pour avoir encore plus de plaisir, j’ai écarté les jambes j’avais envie de sentir ses ongles dans le creux de mes cuisses. Mentalement, j’avais compris qu’elle était en train de me manger, de me croquer, mais elle était si douce......

Si douce et pas pressée la cougar !

Si douce et pas pressée d’arriver à ma culotte, elle m’a tellement allumée que j’étais impatiente qu’elle me touche ! Si bien que quand elle a simplement posé ses doigts sur son sexe par dessus la culotte, j’étais déjà proche de la jouissance. Autant dire que je n’ai pas serré les jambes. Elle a massé mon sexe par dessus le rempart de tissu comme mon visage, avec de simples petits attouchements, autant dire un délicieux supplice. J’étais devenue sa chose, sa proie et heureuse de l’être. Jamais je n’avais éprouvé de telles sensations.

Lorsque enfin sa main s’est insinuée dans ma culotte, je me souviens m’être mise à gémir, ses phalanges n’ont pas eu de mal à glisser entre mes lèvres intimes tant j’étais trempée. Elle m’a poussée légèrement pour se relever et me faire m’étendre sur son canapé en s’accrochant à ma culotte pour la faire glisser. Elle s’est aussitôt mise à manger mon ventre au niveau du nombril avant de faire courir ses lèvres sur ma poitrine pendant que ses doigts jouaient les spéléologues dans la caverne de la fécondité. Elle aurait pu me faire jouir mais ce n’était pas encore au programme de la « dévergondation » de la jouvencelle. Non, elle voulait me rendre chèvre, folle de désir.

Linda a attrapé son verre pour saisir la tranche de citron vert et, après l’avoir léché, s’en est servie pour titiller mon clitoris. Le froid et le citron l’ont électrisé ! C’est à ce moment là, qu’elle l’a gobé avec ses lèvres si chaudes, si douces. J’ai eu comme un flash dans la tête avant de me mettre à convulser. Cette « salope » me maintenait sur le rivage de la jouissance sans me l’accorder. J’étais totalement à sa merci, dépendante de son bon vouloir.

Soudain, elle m’a caressée le visage pour me faire ouvrir les yeux et la regarder avant de me dire « maintenant ». Lorsqu’elle a enfoncé ses doigts en moi, j’ai crié et, au moment de serrer les jambes, sa tête les bloquait pendant qu’elle mangeait mon clitoris. Là ce fut l’apothéose, l’explosion, l’implosion des sens, de mon corps, de ma tête, de mon âme. J’ai quasiment perdu connaissance, j’étais à moitié dans le coma, à moitié éveillée. Elle s’est retiré de mes cuisses pour me laisser me recroqueviller sur moi-même. Je crois que je me suis endormie car, un bon moment plus tard, je me suis éveillée sous un plaid tout doux, la lumière était tamisée, elle avait mis de la musique planante et me regardait avec un sourire compatissant.

  • J’espère que tu ne m’en veux pas ? M’a demandée Linda sous la forme interrogative.

En guise de réponse, je l’ai attrapée par son chemisier et je l’ai embrassée sur la bouche en la serrant très fort dans mes bras. Ce baiser a duré longtemps, nos langues jouaient et s’enroulaient comme des serpents amoureux. Par ce baiser je lui donnais mon âme.

EPILOGUE

Avec Linda, j’ai découvert l’amour au féminin. Elle m’a transformée, je suis devenue une femme libérée, contrairement à elle, je n’ai pas arrêté les hommes, j’en ai besoin de temps en temps mais je ne suis pas sûre que cela va durer. Par contre, lorsqu’elle m’a demandée de devenir sa soumise, j’ai accepté de suite sans condition.

Cette sadique aime attacher les femmes pour les faire pleurer de désir. Elle est capable de vous grignoter deux heures en jouant avec une plume sur votre corps au point de vous conduire à la supplier de vous achever. Je ne suis pas encore très douée en « langue » mais c’est avec un immense plaisir que je suis ses cours......

Je sais maintenant pourquoi les femmes cougars attirent. C’est parce qu’elles sont très ouvertes, parce qu’elles ont de l’expérience, parce qu’elles ne prennent pas la tête et parce qu’elles sont tout simplement bien dans leurs baskets.

FIN

TSM

QUELQUES LIENS

FORUM entre femmes

LIRE des histoires érotiques de lesbiennes

VOIR plus de 2000 photos SANS PUB de lesbiennes

VOIR plus de 600 vidéos SANS PUB de lesbiennes

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !

UNE BOUTIQUE fétichiste très BDSM

J'adore ❤
Très belle histoire ^^
Savoureux. On en redemande.
Les lesbiennes ont l'Art de l'Amour
Qui connait mieux le corps d'une femme qu'une femme ?
Publicité en cours de chargement